Utilisant la photographie et la vidéo, Mélina Jaouen y associe les registres de la performance, de la danse, de la sculpture et de la peinture. ​

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« Il y a un théâtre dans la personne de chair », énonçait le dramaturge et metteur en scène Valère Novarina. Le théâtre anatomique de Mélina Jaouen est celui des métamorphoses. Elle saisit la (dé)construction des corporalités, questionnant en permanence les notions d’identité et de frontière, d’humain et d’animal, de vivant et de sculptural. ​

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Ses images révèlent un monde sensuel et baroque, teinté d'un imaginaire archaïque, préhistorique et fantastique.